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Les noyaux des atomes |
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Les noyaux des atomes
Publié le 11 mai 2022
La conception que se font les physiciens des noyaux des atomes et de la physique qui les gouverne a fortement évolué depuis le début du XXème siècle. On les classe sur un diagramme en fonction de leur nombre de protons et de neutrons appelé charte des noyaux. Dans ce diagramme, la « vallée de la stabilité » délimite la zone des noyaux existants.
A L’INTÉRIEUR DE L’ATOME
L’atome est le constituant de base de la matière. Dans le noyau de l’atome se trouvent les protons (chargés positivement) et les neutrons (non chargés), tandis que les électrons (chargés négativement) sont localisés autour du noyau.
Son nombre de protons ou numéro atomique est noté Z. L’atome étant neutre, il comporte autant d’électrons que de protons. Ainsi le numéro atomique détermine les propriétés chimiques de l’atome. A chaque valeur de Z correspond un nom d’atome, un élément chimique. Ainsi l’hydrogène possède 1 proton, tandis que le carbone en possède 6. ??Le nombre de neutrons au sein du noyau est désigné N. Le nombre de masse A est la somme de Z+N. Pour un atome de Z donné, on peut compter plusieurs isotopes, en fonction du nombre de neutrons.
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Le télescope spatial James Webb en route pour le second point de Lagrang |
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Le télescope spatial James Webb en route pour le second point de Lagrange
Vue d’artiste du télescope James Webb. © NASA/JWST
Le 25 décembre 2021, Ariane 5 a parfaitement réussi sa 112ème mission depuis le Centre Spatial Guyanais (CSG), puisqu’elle a lancé avec succès le télescope spatial James Webb de la NASA, développé en coopération avec l’ESA et l’Agence Spatiale Canadienne (CSA). Il s’agissait du septième lancement de 2021 depuis le CSG, et la troisième mission de l’année pour Ariane 5. Ce dernier lancement de l’année représente également le 256ème lancement de la famille des lanceurs Ariane.
Ariane 5 a placé Webb sur une trajectoire qui l’emmènera directement vers sa destination finale : le second point de Lagrange (L2), une orbite située à 1,5 millions de kilomètres de la Terre, que le télescope atteindra 29 jours après son lancement. Intégralement déployé dès son arrivée à L2, il y allumera et y testera alors l’ensemble de ses 4 instruments avant d’être opérationnel aux environs de juin 2022.
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« Topaze » : un nouveau calculateur au CCRT, co-conçu par Atos et le CEA, pour relever les défis du calcul haute performance et du traitement de donné |
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« Topaze » : un nouveau calculateur au CCRT, co-conçu par Atos et le CEA, pour relever les défis du calcul haute performance et du traitement de données
Le CEA et ses partenaires du Centre de calcul recherche et technologie (CCRT) ont investi dans un nouveau supercalculateur, nommé « Topaze », basé sur la solution BullSequana XH2000 d’Atos et installé dans le Très grand centre de calcul du CEA (TGCC[1]) à Bruyères-le-Châtel en Essonne. Il sera ouvert aux premiers utilisateurs fin juin 2021 pour démarrer la phase de « grands challenges » correspondant à des simulations de très grande ampleur.
PUBLIÉ LE 23 JUIN 2021
Acquis suite à un appel d’offres, « Topaze » fait partie de la gamme de supercalculateurs HPC d’Atos, issus de la R&D menée conjointement par Atos et la Direction des applications militaires (DAM) du CEA. Il dispose d’une puissance de calcul crête de l’ordre de 8,8 petaflops[2].
Ce nouveau calculateur comprend une partition généraliste de 864 nœuds équipés des derniers processeurs AMD EPYC Milan 7763, une partition accélérée de 48 nœuds s’appuyant sur des processeurs Nvidia A100 ainsi que 4 nœuds de très grande mémoire. Un système de stockage DDN[3] disposant d’une capacité d’environ 3 petaoctets et d’une bande passante de 280 gigaoctets/s vient compléter la partie calcul.
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plutonium |
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plutonium
(de la planète Pluton)
Consulter aussi dans le dictionnaire : plutonium
Élément chimique (Pu) de numéro atomique 94, dont on connaît une quinzaine d'isotopes, tous radioactifs.
PHYSIQUE
Le plutonium 239, élément radioactif de période 24 390 ans, a été obtenu en 1941 par G. T. Seaborg et E. M. McMillan, en bombardant de l'uranium 238 avec des neutrons, ce qui produit une réaction donnant successivement de l'uranium 239, du neptunium 239 et du plutonium 239. Aisément fissile, il est utilisé dans les centrales nucléaires (combustible mox) et dans l'armement nucléaire. Le plutonium récupéré après retraitement des combustibles usés peut être utilisé soit comme combustible dans certains réacteurs (mélangé à de l'uranium appauvri), soit, sous certaines conditions de combustion de l'uranium enrichi en réacteur, pour réaliser des explosifs nucléaires.
MÉDECINE
La toxicité du plutonium est extrême, puisque sa dose létale est de l'ordre du microgramme.
L'utilisation du plutonium dans les installations nucléaires civiles et militaires expose au risque de contamination en cas d'accident. La contamination par inhalation d'oxyde de plutonium est la plus dangereuse car elle entraîne la fixation de ce corps dans le tissu pulmonaire. Elle nécessite un traitement immédiat, fondé sur l'administration, par inhalation et par injection intraveineuse, d'acide diéthylène-triamino-pentacétique (DTPA). Cette substance forme avec le plutonium un complexe, qui est éliminé dans les urines.
Le plutonium 238 est utilisé dans certains stimulateurs cardiaques.
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