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SOMMES-NOUS SEULS DANS LA GALAXIE ?

 

SOMMES-NOUS SEULS DANS LA GALAXIE ?


Conférence du mardi 7 juin 2005 par Nicolas Prantzos. LE PARADOXE DE FERMI - " Où sont-ils ? " Depuis Galilée, la science moderne n'a cessé de "provincialiser" notre place dans l'Univers, remplaçant progressivement l'anthropocentrisme initial par une confiance quasi-illimitée au principe copernicien : notre position spatio-temporelle n'a rien d'exceptionnel. Cependant, jusqu'à présent, l'observation astronomique ne nous a rien apporté sur les formes de vie qui pourraient peupler l'Univers et encore moins sur l'existence d'éventuelles formes de vie intelligentes ou de civilisations technologiquement avancées... Il existe un fait d'observation, dont l'importance se mesure difficilement : l'absence de la moindre trace d'une civilisation extraterrestre sur notre planète ou dans le système solaire. Or, si nous ne représentons rien d'exceptionnel pour l'Univers, d'autres civilisations technologiques auraient dû émerger dans la Galaxie bien avant nous et arriver jusqu'ici ; en effet, notre Soleil est une étoile moins âgée que la plupart des étoiles de la Voie lactée. Le physicien italien Enrico Fermi a bien résumé ce "paradoxe" en 1950, dans sa célèbre phrase "Où sont-ils ?". La réponse de l'astrophysicien britannique Fred Hoyle (et d'autres) dans les années 1950, a été que les voyages interstellaires sont tout simplement impossibles. D'autres hypothèses ont été avancées, mais aucune ne semble actuellement entièrement convaincante. La solution la plus simple du paradoxe consiste à assumer notre solitude (en tant que civilisation technologique) dans la Voie lactée...

 

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MICROSCOPIE

 

Paris, 9 juillet 2012


La microscopie biphotonique passe à la couleur


La microscopie multiphoton multicouleurs pour l'étude du développement embryonnaire et cérébral.

Des travaux publiés dans la revue Nature Methods par les équipes d'Emmanuel Beaurepaire (Laboratoire d'optique et biosciences (LOB), École Polytechnique, CNRS, Inserm), de Jean Livet (Institut de la Vision, CNRS, UPMC, Inserm) et de Xavier Morin (Institut de Biologie de l'École Normale Supérieure (ENS), CNRS, INSERM), démontrent une nouvelle stratégie de microscopie biphotonique multicouleurs adaptée à l'observation en profondeur de tissus biologiques intacts marqués avec des chromophores distincts, par exemple des protéines fluorescentes de couleurs différentes.
Cette avancée est une évolution de la microscopie multiphotonique, développée à partir des années 90. Elle a ouvert une nouvelle fenêtre pour l'étude du vivant car elle permet d'observer en trois dimensions un tissu biologique intact à une profondeur dépassant la centaine de micromètres.

Cette approche ne permettait pas jusqu'ici d'effectuer efficacement une imagerie « en couleurs », c'est-à-dire d'observer simultanément trois marqueurs différents (par exemple bleu, vert et rouge). C'est ce que la technique développée par les biologistes et physiciens de l'Inserm et du CNRS à l'École Polytechnique permet de faire aujourd'hui.

Dans le domaine de la recherche biomédicale, elle va permettre d'étudier l'architecture et le développement de structures multicellulaires complexes telles que le système nerveux central ou l'embryon en développement, en visualisant simultanément plusieurs paramètres au sein du tissu.

Les chercheurs du LOB ont appliqué cette approche pour visualiser « en couleurs » et en profondeur le développement d'embryons de Drosophile, ainsi que le cerveau ou la moelle épinière de souris et d'embryons de poulet marqués avec la stratégie de marquage transgénique multicouleurs dite 'Brainbow' développée par les équipes de l'Institut de la Vision et de l'ENS. La nouvelle méthode d'imagerie facilite la reconstruction tridimensionnelle et le suivi dynamique des systèmes étudiés. Il devient possible de visualiser à grande échelle l'agencement des cellules neurales et gliales dans le cerveau, le mouvement ou les filiations cellulaires dans l'embryon en développement sur un critère de couleur.

Ce « passage en couleurs » de la microscopie multiphotonique est directement transposable à d'autres problématiques (suivi de cellules en mouvement, imagerie dynamique de la signalisation, etc.) et devrait trouver de nombreuses applications en biologie des systèmes.

 

DOCUMENT                 CNRS                  LIEN

 
 
 
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TÉLESCOPE À NEUTRINOS

 

LES YEUX D'ANTARES


Conçu il y a sept ans, le projet Antares est le fruit d'une collaboration entre plusieurs laboratoires français et européens (CNRS, CEA, IFREMER). Son objectif est de détecter et d'étudier les neutrinos cosmiques de très haute énergie grâce à l'élaboration du premier télescope sous-marin à neutrinos du monde qui sera installé à une profondeur de 2500 mètres au fond de la mer. L'observation des neutrinos cosmiques constitue un moyen privilégié pour sonder l'intérieur des objets astrophysiques très distants et obtenir une description de l'univers lointain, de manière complémentaire au rayonnement électromagnétique. Elle pourrait également apporter, de façon indirecte, des informations sur la nature de la masse cachée de l'univers. A environ 40 km au large de Toulon, dans la fosse de Porquerolles, à bord du navire le Castor, le Cyana, petit submersible de l'IFREMER inspecte les fonds pour trouver le site le plus approprié à l'installation d'Antares. Les capteurs d'Antares sont tournés vers le fond de la mer et reçoivent des neutrinos montants qui ont traversé la Terre et qui viennent de l'hémisphère sud, certains d'entre eux produisent des muons qui sont détectés grâce à l'effet Tcherenkov (équivalent optique du mur du son). Quand une particule dans l'eau va plus vite que la lumière dans l'eau, elle produit un cône de lumière bleue qui signe le passage de la particule. L'installation d'Antares dans l'eau de mer oblige toutes les équipes techniques à travailler au choix de matériaux et d'appareils qui puissent résister à ces conditions. Certains équipements sont aussi testés en Sibérie auprès d'une équipe russe habituée aux conditions extrêmes et travaillant sur un projet similaire sur le lac Baïkal. Une première ligne de cinq étages de détecteurs est testée puis reliée à la boîte de jonction. Celle-ci est raccordée grâce à un câble de 45 km de long à un laboratoire d'analyse installé sur la côte, à la Seyne sur mer.
GénériqueAuteurs-réalisateurs : Jean-François Dars (CNRS Images) et Anne Papillault (CNRS Images) Production : CNRS Diffuseur : CNRS Images. www.cnrs.fr/cnrs-images/

 

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COMMENT SE DÉPLACENT LES ROBOTS - 2ème PARTIIE -

 

COMMENT SE DÉPLAÇENT LES ROBOTS ? : 2ÈME PARTIE


Tout robot est une machine agissante.  A ce titre, il va lui 
falloir se déplacer pour agir.  L'objet de ce séminaire est d'étudier 
les principaux problèmes auxquels un robot est confronté dès lors qu'il 
souhaite se déplacer de façon autonome dans un environnement quelconque.
Grâce à la collaboration d'un robot mobile autonome, nous illustrons les 
problèmes suivants et montrons quelques unes des solutions qui ont été 
proposées pour les résoudre:
- Cartographie de l'environnement.
- Localisation du robot dans son environnement.
- Planification de mouvement (i.e. le calcul du mouvement à réaliser 
pour atteindre le but).
- Navigation (i.e. l'exécution du mouvement planifié).

 

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